En Suisse, l’assurance d’une indemnité journalière en cas de maladie n’est pas prescrite par la loi, mais elle est recommandée aux employeurs et aux personnes exerçant une activité indépendante. Elle vous protège contre les pertes financières si vous ou vos employés êtes en incapacité de travail de longue durée, et elle garantit la poursuite du versement des salaires.
AXA est un partenaire expérimenté qui se tient aux côtés du personnel de ses clientes et clients en cas de versement de prestations. Nos Care Managers et Case Managers peuvent soutenir vos collaboratrices et collaborateurs dans des situations difficiles. Ainsi, en tant qu’employeur, vous ne vous retrouvez pas seul.
L’assurance d’une indemnité journalière en cas de maladie protège votre entreprise contre les conséquences économiques d’une incapacité de travail de votre personnel due à une maladie, pendant que vous êtes tenu de verser leur salaire aux collaborateurs et collaboratrices en incapacité de travail. AXA vous déleste de ce risque et verse les charges salariales à l’expiration du délai d’attente que vous avez convenu.
Les maladies graves de vos collaborateurs et collaboratrices étant rarement prévisibles, une assurance d’indemnité journalière souscrite par l’employeur se révèle une véritable aide dans de tels cas. Elle offre une couverture plus longue que la poursuite du versement du salaire minimum légal selon l’art. 324a CO, évitant ainsi des problèmes existentiels. Une assurance d’une indemnité journalière dépassant les prestations minimales légales peut également offrir des avantages intéressants aux employeurs. Dans la pratique, les primes de l’assurance d’une indemnité journalière en cas de maladie sont supportées à parts égales par l’employé et l’employeur.
Étant donné que les indépendantes et indépendants en Suisse ne sont pas tenus de souscrire une assurance-accidents ni une assurance d’indemnité journalière en cas de maladie, le risque d’une perte de revenu est particulièrement élevé dans leur cas. C’est pourquoi AXA propose aux personnes à leur compte de se protéger de manière complète en souscrivant une assurance d’une indemnité journalière en cas de maladie combinée à une indemnité journalière en cas d’accident.
Non. Cette assurance facultative se révèle néanmoins pertinente dans pratiquement tous les cas et offre une sécurité tant à l’employeur qu’au personnel. En outre, une assurance collective d’une indemnité journalière en cas de maladie est la norme absolue en cette période où les employeurs doivent lutter contre la pénurie de main-d’œuvre qualifiée et se fixer la barre très haut pour être attractifs.
En principe, ce sont les employeurs qui cotisent. Dans la pratique, toutefois, les employés financent eux aussi la prime jusqu’à hauteur de 50%. En cas de maladie grave, ils auront ainsi la certitude d’être sensiblement mieux protégés avec cette assurance facultative que sans. En outre, le financement pour moitié par l’employeur est une condition impérative pour que le délai d’attente de la rente d’invalidité LPP puisse être reporté, afin que le délai d’attente de la LPP et la durée des prestations de l’assurance d’une indemnité journalière en cas de maladie puissent être harmonisés judicieusement.
Tout dépend de la durée des rapports de travail et de l’échelle appliquée (zurichoise, bernoise ou bâloise - en allemand).